Je suis née à Monaco et j’ai été scolarisée à la maison la majeure partie de ma vie, ce qui m’a donné la chance d’aller vivre aux États-Unis pendant 3 ans où j’ai appris l’anglais tout en étudiant à The Tutorial School.

J’ai commencé à utiliser les ordinateurs très jeune, car mon père était un passionné d’informatique, j’ai appris le développement Web et la maintenance informatique par la lecture et l’expérimentation, que j’ai commencé à utiliser au début pour créer des petits sites Web pour mon plaisir et réparer mes ordinateurs, puis, de bouche à oreille, a commencé à créer des sites Web et à réparer des ordinateurs pour ma famille et mes amis.

J’ai choisi de suivre une formation en maintenance informatique et réseaux pour approfondir mes connaissances dans ce domaine et à l’issue de cette formation, j’ai décidé de quitter la France pour l’Australie et de faire un Bachelor en sécurité des systemes d’informations car ce domaine informatique spécifique m’intéressait.

En Australie, en plus de mes études, j’ai travaillé pendant deux ans pour une entreprise appelée Solid Solutions qui venait de fermer son magasin physique pour vendre exclusivement en ligne. Cette expérience m’a permis d’approfondir mes connaissances en développement web et plus spécifiquement en PHP, SQL et e-commerce.

De retour d’Australie, j’ai choisi de me lancer dans l’entrepreneuriat et j’ai créé ma propre entreprise appelée Tiki Web Development. A la fin de la première année j’ai regardé en arrière et je me suis rendu compte que j’appréciais énormément le fait de pouvoir aménager mon emploi du temps comme bon me semble et l’épanouissement personnel que m’offrait cette liberté et en même temps la partie marketing et recherche de clients a été compliqué pour moi et c’est pourquoi j’ai décidé de chercher un poste salarié.

Après deux ans en tant que salarié j’ai reçu une offre que je ne pouvais pas refuser, un de mes amis a décidé d’ouvrir une entreprise à Monaco et cherchait un partenaire, c’est un web designer, je suis développeur, ça me semblait logique de travailler ensemble.
Nous avons donc commencé une nouvelle aventure début 2020, voyons où celle-ci nous mène !

Toujours animé par une curiosité insatiable, mon enfance a été marquée par une passion débordante (et un TDAH que je découvrirais plus tard) qui m’ont poussé à explorer au-delà des sentiers battus. Initialement attiré par l’architecture paysagiste, mon parcours a pris un virage inattendu durant mes études en BTS. C’est là, perdu dans mes réflexions sur mon avenir, que j’ai plongé dans le monde fascinant de l’entrepreneuriat.

En 2014, alors étudiant à la recherche de ma voie, je me suis retrouvé à exercer mes talents en CAO/DAO pour des projets variés, allant de la création de flyers à des logos. C’est par un heureux hasard que j’ai rencontré Marion Aufan, qui cherchait un graphiste pour le premier Startup Weekend Monaco (SWMC). Cette expérience a été pour moi une révélation, me plongeant dans une ambiance électrisante qui a éveillé en moi une passion dévorante pour l’entrepreneuriat.

L’année suivante, l’appel de Nicolas Teboul pour rejoindre l’équipe du SWMC 2015 a marqué le début de mon immersion profonde dans le monde digital. Sous la tutelle de Scarlett Pizzetta-Abrami, j’ai acquis des compétences variées allant du community management, la création web à la photographie. J’ai commencé à trouver ma place, à me forger une identité professionnelle.

La pénurie de graphistes lors du SWMC 2015 a été l’occasion pour moi de prouver ma valeur, aidant cinq équipes sur dix. Ces deux nuits blanches ont été éprouvantes, mais elles m’ont confirmé que j’avais trouvé ma voie.

2016 a été l’année de l’accélération. Prendre en charge seul la communication du Startup Weekend Monaco m’a poussé à lancer Jérémie Design, marquant le début d’une aventure entrepreneuriale riche et exaltante. J’ai accompagné des dizaines de startups, contribuant à l’écosystème qui m’avait tant apporté.

Les années suivantes ont été marquées par des rencontres déterminantes, notamment avec Alex Mattelon et Maxime AUBERT, avec qui j’ai formé une équipe solide. Mon activité prospérait, et malgré des nuits courtes, ma soif d’accomplissement ne cessait de croître.

Le 29 avril 2019 a été un nouveau tournant. Alors que je raccompagnais Alex après le SWMC 2019, l’idée de créer notre propre agence a émergé. Après mûre réflexion, MAJ est né en août 2019. Ce projet est le fruit de mon perfectionnisme lié au TDAH et de mon approche autodidacte. Dix ans d’expérience avec WordPress témoignent de ma veille active et de ma volonté de toujours pousser les limites.

Aujourd’hui, je partage cette histoire avec vous : mon parcours atypique est la preuve que la passion et la détermination peuvent mener loin. Mon expérience est à votre service pour vous accompagner vers le succès.

Je suis né à Monaco en 1975 et j’ai grandi au coeur de la révolution de l’informatique et des jeux vidéos.

Un Apple IIC à l’age de 10 ans puis l’Amiga 500 et la Sega Mega Drive m’ont permis de cultiver la passion des technologies.

Après des études dans le domaine suivies de 5 années au sein de la Banque de Gestion de Rothschild et 8 ans à Paris chez Voyages-sncf.com j’ai décidé de créer ma structure Homisis pour accompagner mes clients dans le domaine de l’informatique.

Chemin faisant Homisis compte aujourd’hui 10 collaborateurs/trices, et j’ai souvent été sollicité pour la création ou maintenance de site web sans en avoir la moindre compétence.

Je me suis alors tourné vers 2 amis de la Jeune Chambre Economique de Monaco que je savais compétent dans le domaine et surtout, qui partageaient l’ADN d’Homisis à savoir : remettre l’humain et le client au cœur des technologies et au centre de nos préoccupations.

Le nombre de collaboration et la qualité de celles-ci augmentant très vite, Alexandre et Jérémie m’ont fait le plaisir de m’intégrer en Juin 2020 dans cette belle aventure pour encore améliorer les synergies entre nos 2 sociétés.
Nos clients communs peuvent aujourd’hui compter sur une équipe de 13 personnes qui répond avec le même engagement la même qualité à l’ensemble de leur besoin.

Né quelques mois après le premier alunissage, mais je ne m’en vante guère car c’est probablement un pur hasard, rien ne semblait me disposer à devenir un jour développeur.

Au terme d’une scolarité plutôt chaotique (au cours de laquelle on a successivement perçu chez moi une aptitude particulière pour le secrétariat, puis des prédispositions évidentes pour le commerce, avant que l’on ne décrète que j’étais indubitablement appelé à une prometteuse carrière dans la gestion), le lycée et moi nous sommes quittés – lui soulagé, moi bac pro compta en poche.

Après de nombreux et divers petits boulots – pour la plupart sans rapport aucun avec cette honorable discipline qui consiste à faire en sorte que les comptes soient justes – exercés concomitamment à des études universitaires en sciences humaines, aussi passionnantes que pauvres en débouchés professionnels, j’ai suivi une formation atypique qui mêlait, entre autres, les modèles statistiques des sciences sociales et… l’informatique.
C’est à cette occasion que j’ai – vraiment – découvert la programmation, mon expérience en la matière consistant jusqu’alors à des tentatives plus ou moins heureuses de modifications de sauvegardes, en vue d’obtenir supers-pouvoirs ou autre objet magique, au seul prix d’une simple permutation hexadécimale.

C’est dans le cadre de cette formation que j’ai acquis les bases du développement web et c’est ainsi que, fraîchement diplômé, j’ai intégré une société de services informatiques monégasque au sein de laquelle j’ai eu en charge la création et la maintenance d’un large éventail de sites, couvrants différents domaines, avec en prime l’opportunité de m’adonner parfois, au gré des projets, à la photographie et au traitement numérique d’image.

Devenu multitâches par nécessité, j’ai également eu la chance d’avoir la malchance d’être confronté, au fil des ans, à une panoplie de problématiques plus ou moins proches de mon domaine de prédilection et à accomplir des tâches, d’abord par obligation, ensuite par goût, pour lesquelles je n’avais a priori aucune aptitude particulière. C’est ainsi que j’ai pu me frotter sur le tas à des domaines connexes – notamment à la création graphique, à la programmation d’applications et autres interfaces d’interconnexion, à l’univers enchanteur de la gestion des bases de données…

Tantôt nommé chef de projet, ou promu référent technique, ces années passées au sein d’une manière d’agence tous risques numérique m’ont permis de développer un sens aigu pour l’acclimatation aux situations en tout genre.

Courant 2020, de légères perturbations dans l’ordre sanitaire mondial, possiblement associées à une longue succession de décisions managériales erratiques, ont fini par avoir raison de la société qui s’était adjoint mes services deux décennies plus tôt. Ceci ne se fit toutefois pas sans que mon excellent et très linuxien collègue de l’époque et moi même aillons la chance, quelques temps auparavant, d’accueillir deux années durant dans nos locaux un certain Alexandre, avec qui nous avions notamment en commun de solides capacités d’adaptation, un penchant inné pour la débrouillardise et une pugnacité à toute épreuve dans la recherche et la mise en œuvre de solutions à la fois efficaces et élégantes.

Aussi quand Alexandre, entre temps parti pour d’autres aventures, m’a proposé en avril 2022 d’échanger autour d’un bon plat de pâtes sur la possibilité de rejoindre MAJ, afin de renforcer son équipe de concepteurs intrépides, j’ai sauté sur l’occasion et ma bicyclette vers ce rendez-vous qui allait changer radicalement nos vies (si, si…).

Pastafarien convaincu, curieux de tout, j’ai la chance de ne jamais connaître l’ennui, et suis perpétuellement à la recherche de réponses à des questions que je redoute parfois d’être le seul à me poser. C’en était une.

J’aime par dessus tout le cinéma de Nolan, les point and click des années 90, m’essayer à la pratique de tout instrument de musique qui croise ma route – et ce malgré la systématique et véhémente réprobation de mon entourage –, ne pas avoir à parler en public, le bruit de la pluie, et prendre des photos dans les miroirs des ascenseurs dont les cabines sont dotées de lumières rouges.

Et encore au-dessus du dessus tout, concevoir et chouchouter avec passion des sites web uniques, agréables et fonctionnels, qui rendent fiers leurs instigateurs, et ravissent les visiteurs.